Les #mooc se banalisent. Suivre un MOOC va rapidement devenir aussi commun que suivre un module d’eLearning autoporté sur étagère (et plus efficace, espérons-le). Produire un MOOC représente beaucoup d’efforts et demande des compétences particulières, mais des organisations toujours plus nombreuses se lancent dans l’aventure. Il y a cette semaine plus de 80 MOOC francophones en cours de distribution, si l’on en croit l’annuaire de référence mooc-francophone.com. Le mois de mars va en voir ouvrir une bonne dizaine de plus. Encore ne parle t-on ici que des MOOC publics, ceux qui s’adressent à tous et ont donc besoin d’une forte exposition sur le web. Les SPOC et COOC réservés aux collaborateurs d’une organisation, ne figurent évidemment pas dans cette liste.
Sur certaines plateformes, les concepteurs et commanditaires se sentent à l’étroit. De nombreuses fonctionnalités sont médiocres ou carrément absentes, tant au niveau des possibilités offertes aux participants qu’à celui du suivi des apprenants, les données retournées restant, dans la majorité des cas, très élémentaires et peu adaptées aux spécificités des parcours d’#apprentissage.
Le MOOC se démocratise et chacun essaie désormais d’adapter sa stratégie en fonction de ses possibilités. Faut il héberger sa plate forme ou non ? Quelle relation avec le fournisseurs ? Bref, cela sent la normalisation et la diversification.
Repéré depuis christinevaufrey.wordpress.com