Appliquée aux diplômes universitaires, cette traçabilité donne la possibilité aux étudiants de posséder dans la blockchain une certification de leurs diplômes ou leurs relevés de notes.Avec l’émergence des micro-diplômes et la multiplication des certifications délivrées par différentes institutions, plus besoin de courir d’une administration à une autre pour obtenir des copies des documents. Tout étant stocké dans cette chaîne de données.
Mais EdTech magazine voit un autre avantage à l’utilisation de la blockchain dans le secteur de l’enseignement supérieur et, plus généralement, de l’#éducation. Les enseignants-chercheurs peuvent y publier de nouvelles ressources éducatives ou des résultats de recherche, avec une traçabilité assurée des documents. Mais aussi et surtout de les diffuser auprès du plus grand nombre en se passant des classiques intermédiaires de type revues scientifiques et manuels scolaires, qui freinent la diffusion de masse, notamment en raison de leurs coûts.
Pour les non initiés, la blockchain (chaîne de données) est étroitement liée aux cryptomonnaies, comme le bitcoin, dont elle permet les échanges. Pourtant, comme le rapporte un article d’Edtech magazine, son utilisation dépasse largement le domaine spéculatif et pourrait profiter à l’enseignement supérieur tant en matière de gestion de données, de certification de diplômes que de publication de travaux de recherche.
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