Ce 8 juin, à l’occasion du festival du #numérique Futur en Seine, nous avons eu la chance d’assister à une série de conférences concernant l’intelligence artificielle. Méconnue il y a une dizaine d’années, cette notion existe pourtant depuis plus de 70 ans. Focus sur ce phénomène qui effraie autant qu’il fascine.
L’IA est la cible d’une multitude de fantasmes
Le terme d’intelligence artificielle a été introduit pour la toute première fois en 1956 par deux jeunes mathématiciens explique Jean-Gabriel Ganascia, professeur à l’Université Pierre-et-Marie-Curie et spécialiste de l’IA. En découvrant les premiers ordinateurs qui avaient tout juste 8 ans, ils ont eu l’idée d’étudier l’intelligence avec ces machines. Leur but était de décomposer l’intelligence en fonctions élémentaires : le raisonnement, la reconnaissance des objets, le langage…
Le deep learning dans notre quotidien
La #méthode phare de l’IA aujourd’hui c’est le deep learning. C’est une technique d’#apprentissage qui permet à un programme de reconnaître le contenu d’une image ou de comprendre le langage. C’est aujourd’hui la méthode phare de l’IA : toutes les grandes entreprises tech s’y mettent (Google, IBM, Microsoft, Amazon, Adobe ou encore Baidu y investissent des fortunes).
Automatisera, automatisera pas ?
Il y a encore bien d’autres raisons pour lesquelles l’intelligence artificielle ne pourra jamais remplacer l’intelligence humaine. Cela amène à se poser la question de ce qui pourra être remplacé par des machines et ce qui ne le sera jamais.