Comme on a pu le voir, le secteur des ed-techs est en pleine ébullition et développement. Tous les jours de nouveaux acteurs apparaissent, apportant de nouvelles opportunités et champs d’investigation. Je suis impressionné par cette créativité et les possibilités offertes. Je l’ai souvent indiqué, il n’y a plus aucune limite dans la salle de classe et… à l’extérieur
Néanmoins, il y a à l’heure actuelle – en France – un certain nombre de limites et contraintes qui pénalisent le développement de ce type d’entreprise

Quatre limites

1. Un marché très fragmenté

2. Des processus d’achat complexes

3. Dans ce processus d’achat, et plus spécifiquement pour la France, l’Éducation nationale est un acteur incontournable, voire même obligatoire mais qui rebute toute initiative

4. L’importance du gratuit qui rend aléatoire le retour sur investissement et peut décourager des investisseurs

Il faut une filière française d’excellence

Ces ed-techs sont aussi des enjeux économiques, industriels et géopolitiques. Je suis surpris lorsque je vais dans des salons internationaux de l’importance du nombre de pavillons de pays.

Le défi est immense mais c’est une partie de l’avenir de l’école !

 

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