Dans la société de l’image et de l’instantané, les jeunes générations ont les pensées « kaléidoscopes ». Ils peuvent tout faire en même temps… regarder un film sur YouTube, parler avec un ami, envoyer un SMS, regarder le temps qu’il fait dehors, et imaginer la minute qui va suivre… pourvu qu’ils en changent le cours.
En effet, plus de 75 % des jeunes ne peuvent s’imaginer un monde sans le web](https://news.bbc.co.uk/2/hi/technology/8305731.stm).
Aller vite et bien
Il est vrai que depuis les années 90, les digital natives ont été nourris aux séries, à la Télé réalité, aux CD Rom, aux DVD Rom, à l’encyclopédie sur le net, à l’arrivée d’Internet et de MSM, de ICQ, des SMS, des Tatoos, Tribu et dès 2005 de Facebook.
Les jeunes générations ont donc pris l’habitude d’aller vite et bien… à la recherche d’informations qui somme toute étaient virtuelles. Impalpables et difficiles à mémorisées, pas de « Madeleines de Proust volatiles ».
Une question d’usage et de mémoire
Les #digital natives passent en moyennes une quinzaine d’heures par semaine sur Internet. Les jeunes générations possèdent une mémoire « haute définition » soit une mémoire implicite perceptuelle, comme le montre les travaux de recherche du professeur Philip Ko de l’Université Vanderbilt à Nashville, dans le Tennessee.
Les marques à l’assaut
De plus, les marques l’ont bien compris, les digital natives confient volontiers leurs données personnelles afin de contribuer à l’expansion du monde de la consommation digitale.