« Un esprit sain dans un corps sain », là encore, les Latins avaient compris l’importance d’une bonne hygiène de vie pour assurer les performances du cerveau. Désormais, les neurosciences viennent appuyer ce principe de vie, en démontrant l’importance de la nutrition, du sport ou encore du sommeil vis-à-vis de la capacité de notre cerveau à mémoriser. Finalement, pour avoir une bonne mémoire, il faut aussi savoir prendre soin de soi, tout simplement. On vous dit comment.
Une bonne alimentation pour commencer
Un cerveau qui fonctionne bien, c’est d’abord un cerveau bien nourri. Les spécialistes du cerveau parlent désormais de « neuronutrition », un mot qui fait le pont entre les neurosciences et l’alimentation. Des études se penchent d’ailleurs sur l’impact de celle-ci sur les neurones et les connexions synaptiques. Dès lors, hormis l’huile de foie de morue de nos grand-mères, quels sont aujourd’hui les aliments propices à la bonne santé de notre cerveau et à son bon fonctionnement ?
Le sommeil de qualité sur la durée
Comme nous l’avons déjà évoqué précédemment, pendant le sommeil, le cerveau ne se met pas en mode veille, bien au contraire. Il profite de ces instants pour faire le tri entre toutes les informations absorbées au cours de la journée. C’est alors l’occasion d’ancrer certains apprentissages et d’améliorer la mémorisation, en renforçant les liaisons synaptiques. C’est aussi l’occasion d’oublier le superflu et le trop-plein, mais surtout de hiérarchiser les informations.
Du sport de façon régulière pour continuer
Si le sport est bon pour le corps de façon générale, et notamment pour le cœur, c’est aussi un bon allié du cerveau.
Le cerveau, plus on l’utilise, plus il mémorise
Les travaux de Pierre-Marie Lledo, directeur de recherche à l’Institut Pasteur, sont parmi ceux qui ont permis de démontrer que nous ne cessons pas de créer de nouveaux neurones tout au long de notre vie, contrairement à ce que nous pouvions encore penser il y a quelques années.
Le stress mis de côté
S’il est des éléments bénéfiques à la mémorisation, comme ceux évoqués plus haut, d’autres facteurs sont au contraire des éléments perturbateurs qui nuisent à son bon fonctionnement.