Ce qui évolue fortement, ce sont les outils que ces différents acteurs vont utiliser pour échanger entre eux. Ceux-ci ne sont plus seulement disponibles dans les plateformes e-learning, mais ce sont bien tous les médias sociaux qui peuvent être potentiellement mobilisés à des fins tutorales. Cette approche d’inspiration connectiviste semble effectivement adaptées aux MOOCs, du moins à certains. De même, l’emphase est mise sur le travail collaboratif qui, lui, est davantage redevable au socio-constructivisme et qui n’est aménageable dans les MOOCs qu’à partir d’une constitution de sous-groupes, par centres d’intérêts, par appariement de compétences, selon la proximité géographique…

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