Il existe une bonne variété de modèles théoriques pour situer l’enseignant dans son progrès technopédagogique (#SAMR, ASPID, Raby, matrice MIT, etc.). En voici un qui s’intéresse aux élèves.
Ces quatre stades ont comme prémisses que :
- les contenus numériques sont accessibles aujourd’hui comme ils ne l’ont jamais été dans l’histoire;
- les réseaux d’#apprentissage sont façonnés en créneaux, entretenus par des avatars faisant partie intégrante de la notion de soi, dans une dynamique infinie;
- l’apprentissage par le jeu, les simulations et la ludification changent la façon d’appréhender l’information et la notion de communauté;
- de puissantes plateformes existent déjà (YouTube, iTunesU, reddit, etc.) et sont capables de fournir du contenu authentique et varié sur demande.
Le #numérique transforme les pratiques par étape successives. L’important est de se fixer un objectif élevé mais de prendre le temps – faire le chemin – de la transformation en n’oubliant aucune étape. Dans ce cas, c’est la #pédagogie qui évolue et il n’y a pas d’instrumentalisation technique.
Repéré depuis 4 stades de perturbation de l’apprentissage traditionnel par les TIC | L’École branchée