Ed-tech : ce terme est apparu à plusieurs reprises ces dernières semaines, que ce soit au travers d’une étude réalisée par Victor Wacreneiez sur 140 start-ups, de « l’Edtech world tour » réalisé par Svenia Busson et Audrey Jarre, étudiantes à HEC ou encore de différentes levées de fonds significatives réalisées par quelques sociétés françaises.

Pourquoi un tel engouement international ?

  1. L’école du futur
  2. La demande des entreprises
  3. Le développement des services
  4. La génération Z
  5. L’apprentissage pour tous
  6. La pression des parents

Un business-model convoité ?

les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazonà seront bientôt des acteurs importants du monde de l’éducation et seront tout à la fois nos concurrents et nos alliés dans certains domaines. J’inclus bien évidemment aussi LinkedIn qui devient incontournable dans notre monde A titre d’ex, plus de 80 % de nos étudiants ont un profil LinkedIn. J’ai par ailleurs était sidéré la semaine dernière car j’ai demandé à des élèves d’une classe préparatoire aux grandes écoles s’ils avaient un compte LinkedIn et plus de la moitié de la classe a levé la main.

Une solution pour les « déçus » de l’enseignement

Un nombre significatif d’Edtech est enfin créé par des étudiants ou de jeunes diplômés (je ne donnerai pas de noms pour que ceux encours de scolarité n’aient pas d’ennuis !) qui, quand j’échange avec eux, me disent qu’ils ont eu ces idées parce qu’ils ont été déçus et auraient voulu apprendre d’une autre manière.

À suivre, une typologie des ed-techs, les business-models et un plaidoyer pour une filière française d’excellence dans ce domaine !

 

Partagez cet article