Les “serious games” continuent de marquer des points et sont prisés par de nombreuses entreprises comme outil de recrutement, de formation, mais aussi de communication. Néanmoins, ils ont la réputation d’être encore très onéreux. Mais les entreprises ou organisations qui les ont adoptés disent s’y retrouver. Tour d’horizon des usages de ces “jeux sérieux” en entreprise.

ENJEUX EXTERNES DES SERIOUS GAMES : RECRUTEMENT ET IMAGE DE MARQUE

Utilisés traditionnellement comme #outil de #formation interne, les entreprises ont diversifié les usages des serious games pour leur donner une portée externe dont les résultats ne sont pas négligeables.
Pour certaines d’entre elles, les serious games sont une manière ludique de communiquer auprès du grand public sur leur univers et leurs valeurs de marque, à l’image d’IBM qui, par son jeu Innov8 CityOne, sensibilise le public sur les enjeux de la smart city. Ils permettent aussi de diversifier leur cible : Thalès a ainsi lancé en 2010 le jeu d’aventure multi-supports “Moonshield”, propulsant le public dans un univers de science fiction.

COMMENT RÉUSSIR UN SERIOUS GAME ?

GAMIFIER POUR SORTIR DES FORMATS HABITUELS

GARDER L’ATTENTION DU JOUEUR PAR L’IMMERSION ET LE SCÉNARIO

ILS L’ONT DIT

Domitile Lourdeaux, enseignant chercheur de l’Université Technologie de Compiègne :

« Les “Serious games” ne se confondent pas avec la simulation. La différence est dans l’intention ; il y a le principe de l’apprentissage ludique, avec immersion. Ce qui rajoute de la motivation. »

Eric Blanc-Chaudier, directeur de la formation chez AXA France :

« Certains collaborateurs ont besoin de dispositifs liés au jeu pour entrer dans une démarche d’#apprentissage, et pour avoir envie de développer leurs compétences. »

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