Quand me suis-je posé cette question :
A quoi cette addiction peut-elle bien correspondre?
Je me suis posé la question pour la première fois, sans raison précise, le jour l’un de mes posts avait été lu environ 1000 fois au cours de la première heure de sa mise en ligne. J’ai ensuite calculé combien de fois il serait lu si cela devait continuer à ce rythme, et, le dimanche matin, la première chose que j’ai faite en me levant a été de vérifier le nombre de lecteurs ; j’avais correctement prédit ce résultat, et, pendant plusieurs jours j’ai surveillé ce post particulier. Naturellement, au bout de quelques jours les visites se sont taries et maintenant le compteur semble bloqué.
Au delà de la nécessité d’avoir un profil LinkedIn
Quand on travaille en coaching et aussi en consulting et ingénierie de formation « Digital learning », quand de plus on ambitionne de servir des clients sur sur toute la planète, un profil LinkedIn semble incontournable.
Besoin d’appartenance :
« Besoin d’appartenance :Besoin d’être aimé par les autres, d’être accepté et d’appartenir à
un groupe. C’est la peur de la solitude qui apparaît et donc les personnes veulent avoir un
statut, être un composante d’un groupe. »*Mon besoin d’appartenance va se traduire par l’inscription à des groupes, qu’ils soient secrets ou publics.
Mon besoin d’être aimé, va se traduire par le décompte des « Like » après chaque post ou article.Besoin d’estime de soi :
« Besoin d’estime de soi : C’est le sentiment d’être utile et d’avoir de la valeur. Le besoin de
se faire respecter et d’être capable d’influencer les autres. »*Mon rêve, c’est d’obtenir le statut d’Influencer décerné par LinkedIn (non, ce n’est pas le mien, mais qui sait?)
Besoin d’auto-réalisation (accomplissement de soi)
« Besoin d’autoréalisation : Ce besoin est lié au développement des connaissances. Il s’agit
ici de révéler son propre potentiel créateur, la personne cherche à s’accomplir. La personne
veut résoudre des problèmes complexes, elle a un besoin de communiquer.
Je veux être lu, alors je publie des articles intelligents, avec l’espoir qu’ils seront lus et m’apporteront la notoriété.
Mais en fait, j’écris pour moi: mes articles sur LinkedIn sont les entrées d’un journal « extime », que seuls mes intimes vont repérer et lire.