En matière de pratiques pédagogiques, lui, ancien instituteur, ne défend pas le prescriptif mais montre en quoi les sciences du cerveau peuvent aider à être plus efficaces. Un des points majeurs serait de développer les activités réflexives de l’enfant, et en particulier lui faire comprendre petit à petit comment fonctionne son cerveau. Il note que « l’engagement actif, la curiosité, le retour d’information et la correction d’erreurs sont essentiels, parce qu’ils éveillent l’émotion dans le cerveau des élèves. » Il expose succintement sa théorie de l’inhibition qui se trouve conforté par les observations faites en utilisant les technologies d’imagerie cérébrale
Un livre précieux qui doit avoir toute sa place dans les centres documentaires et les médiathèques.
Jean-Michel Zakhartchouk