Le 2 janvier 2024, Carole Grandjean, ministre déléguée à l’Enseignement et à la formation professionnels répondait à la question écrite 10648 posée par Hubert Brigand, député LR de Côte d’Or sur le niveau de prise en charge des contrats d’apprentissage que “Le Gouvernement a conscience de la complexité du système de régulation actuel”, critique acerbe des choix de la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel annonçant la simplification pour introduire la complexification (voir Apprentissage ” Le Gouvernement a conscience de la complexité du système de régulation actuel”)
Quatre moins plus tard Catherine Vautrin, ministre du travail, de la santé et des solidarités, accentue la critique en écrivant en réponse à trois questions sénatoriales “Le Gouvernement est conscient de la complexité du système de régulation budgétaire de l’apprentissage qui ne favorise pas une prévisibilité et une stabilité optimale pour le développement de l’appareil de formation en apprentissage”.