L’IA pédagogique : une approche sur-mesure
Contrairement à d’autres outils e-learning centrés sur la diffusion de contenus, Didask mise sur l’intelligence artificielle pédagogique pour créer une véritable interaction cognitive avec l’apprenant. Cela signifie que l’outil ne se contente pas de poser des questions ou d’afficher des vidéos, mais guide l’utilisateur en fonction de ses réponses, de ses hésitations, de ses erreurs.
C’est une pédagogie adaptative : chaque parcours est personnalisé selon le niveau de compréhension, les erreurs récurrentes ou encore la rapidité d’exécution. Un employé nouvellement embauché n’aura pas la même progression qu’un collaborateur expérimenté, même sur le même contenu. L’IA de Didask ajuste les feedbacks en temps réel, ce qui favorise une meilleure consolidation des acquis.
Une formation active et ancrée dans la réalité professionnelle
Chez Didask, on ne « consomme » pas de la formation comme un contenu Netflix. On apprend en faisant, en se trompant, et surtout en comprenant pourquoi. L’interface repose sur une pédagogie du questionnement actif : l’apprenant est placé dans des situations concrètes, souvent contextualisées à son environnement de travail. Il doit prendre des décisions, réagir, justifier ses choix.
En cas d’erreur, le module ne le pénalise pas : il lui explique pourquoi c’est une erreur, quel biais ou quelle confusion a pu l’amener à se tromper, et comment mieux raisonner à l’avenir. Cette approche favorise la métacognition, c’est-à-dire la capacité à réfléchir sur ses propres mécanismes de pensée.
Les sciences cognitives au cœur de l’ingénierie pédagogique
Les modules Didask sont élaborés selon plusieurs principes-clés issus de la recherche scientifique :
- L’effet de test.
- La courbe de l’oubli.
- L’apprentissage par l’erreur.
- La réduction de la charge cognitive.
Ces principes ne sont pas optionnels, ils sont intégrés nativement dans la plateforme. Chaque module suit une structure pédagogique claire, avec des objectifs définis, des points de vérification réguliers, et des mécanismes d’auto-évaluation.