Comment as-tu rejoint les rangs de Polytechnique ?
En Chine je ne connaissais pas cette école, mais des recruteurs sont venus rencontrer des élèves de mon université : ils m’ont proposé de passer le concours. J’ai compris que c’était un établissement très reconnu ! J’ai été pris, je ne pouvais pas laisser passer la possibilité de rejoindre un cursus passionnant, d’apprendre une langue supplémentaire, et en plus de vivre à Paris. Polytechnique délivre un enseignement à la fois généraliste, et très pointu. On nous donne les méthodes pour continuer à progresser tout au long de notre carrière : on ne se sent pas juste ingénieur, mais aussi chercheur.
Parlons #pédagogie : quelle est ta passion, comment t’y prendrais-tu pour la transmettre ?
J’aime le sport, par exemple le ski, le badminton, mais ma grande passion c’est l’art, notamment la peinture. A Paris c’est facile de transmettre cette passion : il suffit d’aller au musée d’Orsay, avec des chefs-d’oeuvre de tous les courants, impressionnistes, cubistes… Ils permettent de comprendre l’histoire. On pourrait créer un Kumullus avec, en vidéo principale, une explication chronologique des mouvements artistiques. Et en contenus additionnels, des focus sur des toiles, des peintres… On pourrait même s’initier à la pratique, avec des quiz qui permettraient de reproduire les techniques des grands maîtres dans un pop-up, en touchant l’écran !
A l’heure où le rapport Villani met l’intelligence artificielle sous le feu des projecteurs, un nouveau talent rejoint notre équipe R&D : Zhihao, polytechnicien et passionné de création visuelle….