Le futurologue Thomas Fray prédisait en 2016 que la plus grande entreprise internet mondiale en 2030 ne serait ni Facebook ni Google, mais une « EdTech », une entreprise du secteur de l’éducation, dont nous n’avions pas encore entendu parler. La prophétie semble se réaliser au moment même du boom de l’intelligence artificielle (IA)..
Lorsque l’on demande à ChatGPT lui-même quel sera son impact sur l’enseignement supérieur, sa réponse est triple :
- « Assistance à la rédaction : ChatGPT peut aider les étudiants à rédiger des devoirs, des mémoires, des thèses, etc. en leur proposant des phrases et des idées pertinents pour leur sujet.
- Tutorat en ligne : ChatGPT peut également être utilisé pour fournir un tutorat en ligne aux étudiants, en répondant à leurs questions sur des sujets spécifiques.
- Création de contenu pédagogique : ChatGPT peut également être utilisé pour générer automatiquement des questions d’examen, des sujets de recherche, des exercices, etc. »
En répondant de la sorte, ChatGPT se positionne à la fois du côté de l’étudiant et de l’enseignant-chercheur (en attente de rédaction de contenu), à l’étudiant (ayant un accès potentiellement illimité à un tuteur pouvant lui permettre d’aller à son rythme) et de l’enseignant (dans la création de contenus à diffuser aux étudiants). En outre, l’agent conversationnel génère des textes en réponse à des demandes de lettres de motivation ou d’enrichissement de contenus éditoriaux
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Repéré depuis https://www.telos-eu.com/fr/societe/faut-il-avoir-peur-de-chatgpt-dans-lenseignement-s.html
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