L’irruption du #digital dans la #formation oblige à renouveler la transmission des savoirs. Place au jeu et au collaboratif, à la culture de la mesure et de la Data. Reste que le système en place privilégie encore le présentiel.
Choisir le digital, “c’est choisir un #outil, une #méthode, un encadrement,” décrit Philippe Lacroix, directeur associé de IL&DI. Le tout, “en fonction d’un niveau de motivation et d’un mode de mémorisation [NDLR : d’un apprenant],” précise-t-il. IL&DI est une société de transformation digitale des actions de formation, organisateur des #Digital Learning Day, les 22 et 23 juin à Paris.
Première étape : fragmenter le contenu pour intégrer le digital dans un programme de formation. Cette hyper granularité permettra de glisser ces « grains » de formation dans différents contenus selon les caractéristiques des apprenants.
La #gamification est à l’honneur
Deuxième étape : jouer c’est apprendre. Le jeu semble être la manière la plus efficace pour apprendre. Il capte l’attention, permet de calibrer un défi, incite le joueur à retourner vers les savoirs et à recommencer.
Le pédagogique en mode collaboratif
Troisième étape : le collaboratif. Le digital facilite la construction d’outils pédagogiques collaboratifs. Des solutions comme Gutenberg Technology, présent lors de l’événement, ouvre la création des contenus à plusieurs : pédagogues, experts, créatifs, relecteurs, auteurs, éditeurs… Il s’appuie sur un outil qui fonctionne en mode collaboratif et en temps réel, multipliant ainsi les échanges entre les différents intervenants.
La data pour évaluer la formation
Les méthodes du décisionnel et de “l’analytics” dans la formation vont servir à mettre en place des indicateurs clé et à adapter la formation aux résultats obtenus. Le digital dans la formation va surtout permettre de prendre en compte les niveaux des apprenants.