Cette année, la Nuit Blanche des chercheur·es s’est tenue sous le signe des Métamorphoses — un thème qui nous a invité·es à explorer les transformations profondes que l’intelligence artificielle provoque dans nos façons d’apprendre, d’enseigner, et plus largement de transmettre.
Deux temps de co-construction — à distance puis à la Halle 6 Ouest — ont permis d’élaborer des scénarios pédagogiques adaptés à chaque discipline.
Trois disciplines, trois expériences d’apprentissage
- En mathématiques, le jeu de ségo mettait en scène des lancers de Lego pour explorer l’espérance d’une variable aléatoire. Les participant·es étaient invité·es à comparer l’analyse probabiliste humaine, l’interprétation d’un·e expert·e et celle d’une IA.
- En SVT, une mini-éruption volcanique réalisée avec du vinaigre et du bicarbonate servait de point de départ à un dialogue entre expérience physique, IA explicative, et échange avec un·e expert·e sur la dynamique des éruptions.
- En physique, les participant·es tentaient de faire glisser un palet sur une trajectoire courbe. Cette activité ludique ouvrait la voie à des discussions autour de l’inertie, enrichies par les apports théoriques d’enseignant·es-chercheur·es.
Ce qu’il·elles en ont pensé…
- « Apprendre, c’est aussi faire confiance »
- « Ce n’est pas la machine, c’est le prompt »
- « Une pédagogie à diffuser plus largement »
- « L’IA, une opportunité pour l’esprit critique »
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