Sous l’impulsion du numérique de nouvelles fonctions aux noms plus ou moins abscons ont commencé à apparaître : webdesigner, administrateurs web, développeur d’applications mobiles, référenceur, brocker de Cloud, data scientist, growth hacker… Leurs missions sont encore plus ou moins floues mais, au fil de temps, ces métiers développent leurs spécificités, affirment leur périmètre ou fusionnent avec d’autres, dont les missions sont proches.
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Car il est loin le temps où il fallait l’équivalent d’une vie professionnelle pour voir ses connaissances devenir obsolètes. Aujourd’hui le secret de l’employabilité est dans l’appropriation rapide des nouvelles technologies. Plus question de ne suivre que quelques enseignements pour acquérir les rudiments du fonctionnement d’une nouvelle machine ou d’un logiciel. La formation doit devenir un réflexe et se pratiquer tout au long de la vie professionnelle. Chacun doit être initiateur de son parcours et être à l’affût des évolutions de son métier que ce soit technique ou économique.
Chaque année, le numérique s’invente des nouveaux métiers…. Ou plutôt demande à des vieux métiers de revoir leurs fondamentaux en rajoutant de nouvelles compétences. C’est là la base de la formation tout au long de la vie… D’ailleurs, combien de temps donnons nous à nos salariés de temps pour apprendre à apprendre ? Et à mesurer l’impact de ces apprentissages informels et non formels ?
Repéré depuis Comment le numérique transforme les métiers et l’organisation des entreprises via @01Business_fr