Le podcast pédagogique, star du moment ? !
Envie de surprendre vos apprenants avec cette nouvelle modalité ? Excellent choix ! Peut-être faites-vous d’ailleurs partie des 17 millions de Français qui savourent des podcasts chaque mois ? Quoi qu’il en soit, on ne va pas vous rebattre les oreilles avec les super-pouvoirs de ce média.
Au service de la pédagogie, il est devenu star, stimulant les apprenants par son côté novateur, accessible et immersif, loin des écrans. Pour autant, sa simplicité de fabrication et sa facilité d’usage ne doivent pas cacher une conception très soignée. Sans quoi, ça entre par une oreille et ça ressort de l’autre…
Justement, chez TIPS, on a repéré quelques points d’attention pour produire des podcasts super efficaces. Avec, à l’appui, le lancement d’une collection audio en mode 100% engagement.
Podcast et formation, la bonne équation
Le podcast connaît depuis quelques années (la crise sanitaire a fait coup d’accélérateur) une incroyable montée en puissance dans les dispositifs de formation. Et au vue de ses atouts, cela s’entend ;-) !
- Il est mobile : écouter un podcast peut se faire partout (voiture, douche, tapis de course, supermarché…). Mais aussi, à toute heure et en cumul d’autres activités (tricoter, faire un puzzle, contempler la mer…). Enfin pas besoin de regarder un écran, ça peut faire du bien !
- Il est immersif : avec le podcast pédagogique – s’il est bien ficelé évidemment -, l’apprenant fait une plongée dans les profondeurs de différents univers. Et pour rappel : immersion = attention = mémorisation !
- Il se fait caméléon : il prend la forme tantôt d’une interview, tantôt d’un reportage. Il se fait aussi micro-trottoir, histoire, saynète, documentaire, web-série… Bref, il reprend autant les codes de la radio que de la télé et, bien sûr, du storytelling, appuyant sur le levier “émotions” pour transporter son auditeur. Et ça fonctionne aussi bien sur les petits que les plus grands : oui, en plus d’être cross-média, il est transgénérationnel. Deux atouts de taille !
- Il se met à toutes les sauces : dans un dispositif de formation, vous pouvez le mettre à toutes les sauces… ou presque. Avant la formation en mode web-série pour faire le buzz et distiller votre com’ dans le temps (pour générer de l’attente, du suspens, etc.). En démarrage pour sensibiliser, interpeller et, enfin, après la formation pour des piqûres de rappel indolores et étalées dans le temps.
- Il est agile jusque dans sa réalisation : c’est le format idéal pour un besoin urgent (un dispositif à livrer dans les plus brefs délais). En effet, les étapes de conception et réalisation ne sont qu’au nombre de trois (versus d’autres formats en digital learning) – extraction d’expertise/écriture, enregistrement des voix off, montage et sound design.
Les bonnes pratiques à adopter dans un podcast pédagogique
C’est donc une très bonne décision que d’intégrer le podcast dans un dispositif de formation, à la condition bien sûr de prêter attention au respect de quelques bonnes pratiques/règles lors de sa réalisation.
- Le timing : idéalement, il doit durer entre 3 et 10 min maximum. Pourquoi ? Justement parce qu’il est mobile et peut s’inscrire dans des contextes où la concentration n’est pas toujours optimum, il est par conséquent malin de faire court afin de ne pas perdre l’attention de l’apprenant, voire l’apprenant lui-même…
- La voix : quel que soit le format du podcast (interview, saynète, reportage, web-série…), la façon dont la voix est posée est primordiale. Aussi il ne faut pas hésiter à introduire des silences pour laisser le temps aux apprenants d’intégrer l’information, de la comprendre et l’assimiler.
Une voix off doit savoir exprimer toute la palette des émotions, voire chanter (si, si, on en a mis certains au chant !). De plus, une voix c’est aussi un timbre (d’où l’importance du choix de la voix).
- le sound design : pour le côté immersion, il est incontournable, garant de l’univers auditif, avec la vocation de transporter l’apprenant dans des lieux et ambiances bien spécifiques. Le son appelle des images. Celles que justement on n’a pas dans un podcast mais que l’on crée grâce au son et à la voix.
- L’accessibilité : le sous-titrage sur support vidéo est le moyen de rendre accessible le contenu des podcasts à tous les apprenants. Par exemple, ceux qui ne sont pas de langue maternelle française, les malentendants, ceux qui préfèrent le support écrit par exemple. Et ça, c’est super important.
Le podcast pédagogique made by TIPS
Vous ne serez donc pas étonnés de retrouver l’ensemble de ces ingrédients à succès dans la toute première collection de podcasts pédagogiques réalisés par l’agence TIPS n’ LEARN autour de la vie en entreprise. Sur des formats courts de 3 à 4 minutes, la première série se décline autour du thème “Travailler autrement (ou l’art du travail hybride)”.
Aux commandes : huit collaborateurs et une voix off (pour rappeler 2 ou 3 points clés et conclure sur un call-to-action), tous portés par des voix de comédiens professionnels. Bien sûr, le sound design a lui aussi été confié à des professionnels pour une ambiance sonore très travaillée, aussi présente qu’immersive.
Enfin, cette série de podcasts est livrée en formats mp3 et mp4 (c’est-à-dire une vidéo avec un visuel et des sous-titres) pour répondre aux problématiques d’inclusion. Former c’est bien, mais former et informer c’est tellement mieux. C’est pourquoi cette série de podcasts est doublée d’une boîte à outils bien fournie permettant d’accompagner au mieux les apprenants. Elle est composée :
- d’un quiz game ludique à faire avant ou après,
- d’une roue des missions (pour connecter la formation aux réalités et besoins du terrain, et mettre en mouvement),
- de supports en tout genre (checklist, pense-bêtes, poster, commandements, jeux, etc.),
- et bien sûr d’un mini plan de com’ (teaser, poster et email).
Donc, pour résumer : une collection à l’esprit TIPS de 15 podcasts avec, pour premier thème, le travail hybride et une seconde à venir sur la sécurité informatique. Que diriez-vous maintenant de quitter cet écran pour passer en mode audio ? Magnéto Serge : Sweet office ou l’art de “vendre le télétravail”
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