Le tout présentiel, c’est fini.
Le tout distanciel, ça ne marche pas.

Hybrider les formations, c’est combiner la souplesse de l’auto-formation à distance, avec la pédagogie d’un formateur, en salle.
Une vraie, ou une fausse bonne idée ?

Hybrider une formation, c’est UNE BONNE IDÉE :

✅ la flexibilité : en permettant aux apprenants de choisir, d’où, quand et comment ils suivent les modules de formation à distance

✅ la diversité des méthodes pédagogiques : en proposant à la fois des échanges et de l’accompagnement humain par le formateur, mais également des contenus digitaux

✅ la personnalisation de la formation : aves les bons outils, la partie distancielle peut-être individualisée pour répondre aux préférences de chaque apprenant

✅ la réduction des coûts : moins de déplacement = moins de coût

✅ l’étalement de la formation dans le temps : espacer les étapes de la formation permet de pratiquer l’apprentissage espacé et renforce la mémorisation

Hybrider une formation c’est UNE MAUVAISE IDÉE :

❌ la barrière technologique : tout le monde n’est pas (plus pour longtemps) autonome et agile avec les technologies distancielles

❌ les no-shows : loin des yeux loin du cœur. Sans un suivi rigoureux, les no-shows en distanciel sont plus nombreux qu’en présentiel

❌ la difficulté à évaluer : que se passe-t-il vraiment en dehors des sessions en salle ? Les scores aux quiz sont des indicateurs moins riches que l’observation en situation

❌ la nécessaire discipline personnelle : c’est le principal problème. Planifier les sessions distancielles, et surtout les respecter

❌ la complexité logistique : réunir 10 ou 20 personnes en même temps dans un même lieu, ce n’est pas simple, y ajouter la connexion et l’assiduité de tout le monde à distance rend l’exercice logistique compliqué.

Cette réponse de Normand, ou d’IA (cochez la bonne réponse), ne doit pas décourager de se lancer dans l’hybridation de la formation. A vaincre (ou former) sans péril, on triomphe sans gloire.

 

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